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La Traduction est morte, Vive la Traduction !

Mathieu GUIDERE1,2

 1 Université de Paris 8, 2 Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM, France)

Résumé :

Cet article explore la révolution de la traduction générative à l’ère de l’intelligence artificielle (IA), en analysant tant ses fondements théoriques que ses implications pratiques. Après avoir défini la traduction générative à l’ère de l’IA générative, l’auteur détaille comment ces technologies transforment le rôle du traducteur, désormais positionné comme expert en post-édition et gestion de projets hybrides. S’appuyant sur des exemples concrets, il met en lumière les atouts – tels que la gestion des contextes complexes et la production de rendus créatifs – ainsi que les limites, notamment en termes de gestion des nuances culturelles et de biais inhérents aux données d’entraînement.

L’article propose également une classification des modèles de traduction générative et illustre la redéfinition du concept d’équivalence, qui passe d’une correspondance absolue à une approche nuancée de la similarité sémantique et stylistique. Enfin, l’auteur interroge et repense les dichotomies classiques de la traductologie (théorie versus pratique, traduisible versus intraduisible, art versus science, auteur versus traducteur, etc.) et revisite les théories de la traduction – notamment l’approche interprétative du sens et la théorie du skopos – à la lumière des avancées de l’IA, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives pour une traductologie plus intelligente.

Mots-clés : Traductologie, traduction générative, intelligence artificielle, modèles de traduction, post-édition, équivalence, dichotomies, théorie interprétative du sens, théorie du skopos.

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What is Generative Translation ? State of the Art and Perspectives.

Mathieu GUIDERE1,2

 1 University of Paris 8, 2 National Institute of Health & Medical Research (INSERM, France)

Abstract:

This article explores the revolution of generative translation in the era of artificial intelligence (AI), analyzing both its theoretical foundations and practical implications. After defining generative translation within the context of generative AI, the author details how these technologies are transforming the role of the translator, who is now positioned as an expert in post-editing and the management of hybrid projects. Drawing on concrete examples, the article highlights the strengths—such as handling complex contexts and producing creative renderings—as well as the limitations, particularly regarding the management of cultural nuances and biases inherent in training data.
The article also proposes a classification of generative translation models and illustrates the redefinition of the concept of equivalence, shifting from an absolute correspondence to a nuanced approach to semantic and stylistic similarity. Finally, the author questions and rethinks classic dichotomies in translation studies (theory versus practice, translatable versus untranslatable, art versus science, author versus translator, etc.) and revisits translation theories—particularly the interpretative theory of meaning and the skopos theory—in light of AI advances, thereby opening up new perspectives for a smarter translation studies discipline.

Keywords: Translation studies, generative translation, artificial intelligence, translation models, post-editing, equivalence, dichotomies, interpretative theory of meaning, skopos theory.

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Linguistique prédictive, Langage intérieur et Santé mentale

Mathieu GUIDERE1,2

 1 Université de Paris 8, 2 Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM, France)

Résumé:

La linguistique prédictive est un domaine en pleine expansion, à l’interface des sciences du langage, des sciences cognitives et de l’intelligence artificielle, centré sur la manière dont les humains et les machines utilisent des processus prédictifs pour traiter et produire du langage. Cette discipline se distingue par son approche proactive mettant l’accent sur les mécanismes internes qui permettent d’anticiper des structures linguistiques à venir. Elle explore les processus sous-jacents à tous les niveaux du langage — morphologique, syntaxique, sémantique, pragmatique, etc. — et vise à comprendre comment ces prédictions influencent la production et la compréhension du discours.

L’objectif principal de la linguistique prédictive est de modéliser les mécanismes cognitifs pour mieux comprendre comment le cerveau traite le langage, mais aussi pour développer des modèles capables de générer, prédire et comprendre le langage de manière similaire à la cognition humaine. En se concentrant sur le langage intérieur et les mécanismes cognitifs qui permettent de prédire les structures linguistiques à différents niveaux, la linguistique prédictive vise à créer des modèles de langage capables de reproduire ces capacités prédictives. Ce faisant, elle pourrait révolutionner le traitement automatique du langage naturel et ouvrir la voie à l’intelligence artificielle générale, capable d’une conscience linguistique similaire à celle des humains.

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Predictive Linguistics, Inner Speech & Mental Health

Mathieu GUIDERE1,2

 1 University of Paris 8, 2 National Institute of Health & Medical Research (INSERM, France)

Abstract:

Predictive linguistics is a growing field at the interface of language sciences, cognitive sciences, and artificial intelligence, focusing on how humans and machines use predictive processes to process and produce language. This discipline is distinguished by its proactive approach, emphasizing the internal mechanisms that allow us to anticipate future linguistic structures. It explores the underlying processes at all levels of language—morphological, syntactic, semantic, pragmatic, etc.—and aims to understand how these predictions influence the production and comprehension of discourse.

The main goal of predictive linguistics is to model cognitive mechanisms to better understand how the brain processes language, but also to develop models capable of generating, predicting, and understanding language in a manner similar to human cognition. By focusing on inner speech and the cognitive mechanisms that allow us to predict linguistic structures at different levels, predictive linguistics aims to create language models capable of reproducing these predictive capabilities. In doing so, it could revolutionize natural language processing and pave the way for artificial general intelligence, capable of linguistic awareness similar to that of humans.

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LE CONTINUUM DE LA VIOLENCE : DE LA VICTIME À L’AUTEUR

M. GUIDÈRE. Professeur des Universités (Paris 8). Directeur de recherches à l’INSERM

Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale, France.

Résumé :

L’analyse de la violence peut être abordée sous différents angles, notamment ceux de la psychocriminologie et de la psychotraumatologie. Ces deux perspectives offrent des éclairages complémentaires qui permettent de mieux comprendre les mécanismes et les impacts de la violence.

En effet, la psychocriminologie se concentre sur l’étude des comportements criminels en s’intéressant aux facteurs psychologiques qui peuvent conduire un individu à commettre des actes violents. Elle examine également les motivations, les traits de personnalité, les troubles mentaux et les influences environnementales qui peuvent jouer un rôle dans le passage à l’acte violent. En identifiant ces facteurs, son objectif est de développer des stratégies de prévention et d’intervention pour réduire la violence.

La psychotraumatologie, quant à elle, se concentre sur les conséquences psychologiques de l’exposition à des événements traumatiques, incluant la violence sous toutes ses formes. Elle étudie les réactions émotionnelles et comportementales des victimes, telles que le stress post-traumatique, l’anxiété, la dépression, ou encore les troubles du sommeil. Elle s’intéresse également aux mécanismes de résilience et aux stratégies d’adaptation que les personnes peuvent développer pour surmonter le traumatisme. En étudiant ces réactions, elle aide à élaborer des interventions thérapeutiques adaptées pour soutenir les victimes dans leur processus de guérison.

En combinant ces deux perspectives, on obtient une vision plus complète de la violence. La psychocriminologie aide à comprendre pourquoi et comment la violence se produit, tandis que la psychotraumatologie éclaire sur ses conséquences et sur la manière dont les victimes peuvent être impactées et soutenues. Cette complémentarité permet de développer des stratégies de prévention plus efficaces, en agissant à la fois sur les facteurs de risque chez les auteurs potentiels et en renforçant la résilience des victimes potentielles. Elle informe également les politiques publiques en matière de sécurité, de justice et de santé mentale, en mettant en exergue l’importance d’une approche intégrée pour lutter contre la violence et ses effets.

Mots-clés : Violence, cycle, psychocriminologie, psychotraumatologie, marqueurs, langage, intelligence artificielle.

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Abstract:

The analysis of violence can be approached from different perspectives, including psychocriminology and psychotraumatology. These two perspectives offer complementary insights that allow for a better understanding of the mechanisms and impacts of violence.

Psychocriminology focuses on the study of criminal behavior by examining the psychological factors that can lead an individual to commit violent acts. It also examines the motivations, personality traits, mental disorders, and environmental influences that can play a role in the transition to violent acts. By identifying these factors, its goal is to develop prevention and intervention strategies to reduce violence.

Psychotraumatology, on the other hand, focuses on the psychological consequences of exposure to traumatic events, including violence in all its forms. It studies the emotional and behavioral reactions of victims, such as post-traumatic stress, anxiety, depression, and sleep disturbances. She is also interested in the resilience mechanisms and coping strategies that individuals can develop to overcome trauma. By studying these reactions, she helps develop tailored therapeutic interventions to support victims in their healing process.

Combining these two perspectives provides a more comprehensive view of violence. Psychocriminology helps understand why and how violence occurs, while psychotraumatology sheds light on its consequences and how victims can be impacted and supported. This complementarity allows for the development of more effective prevention strategies, both by addressing risk factors in potential perpetrators and strengthening the resilience of potential victims. It also informs public policies in the areas of security, justice, and mental health, highlighting the importance of an integrated approach to combating violence and its effects.

Keywords: Violence, cycle, psychocriminology, psychotraumatology, markers, language, artificial intelligence..

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Réf. GUIDÈRE M. (2025). Le Coninuum de la violence : de la victime à l'auteur. In Exitser dans la fragilité (coord. F. Peinaud), Les Éditions Ovadia, 2025, pp.69-98.

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L'ANXIÉTÉ GÉOPOLITIQUE  : ENJEUX ET DÉFIS POUR L'AVENIR

M. GUIDÈRE. Professeur des Universités. Directeur de recherches à l’INSERM

Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale, France.

Résumé :

L’anxiété géopolitique n’est ni une inquiétude passagère ni une réaction isolée, mais une expérience collective, diffuse et persistante face aux crises internationales. Cet article explore la manière dont les bouleversements du monde contemporain traversent les esprits, imprègnent les émotions et modèlent les comportements, bien au-delà des cercles diplomatiques ou stratégiques.
À travers une analyse rigoureuse et transversale, l’auteur met en lumière un phénomène enraciné dans notre époque : l’inquiétude généralisée face aux bouleversements mondiaux. L’instabilité des relations internationales, la persistance des conflits armés, la multiplication des menaces hybrides et la médiatisation continue des crises, provoquent une amplification inédite des peurs collectives. Ce climat anxiogène s’installe dans la vie quotidienne, influençant les perceptions, les identités et les engagements politiques.
Pourquoi la guerre en Ukraine, les tensions au Moyen-Orient ou la rivalité sino-américaine suscitent-ils des réactions émotionnelles si vives ? Comment la disparition des distances psychiques transforme-t-elle des citoyens hyperconnectés en victimes par procuration ? Quels sont les ressorts mentaux de cette anxiété diffuse ? Comment gérer ses effets sur le rapport au monde, à l’autre, à soi ? Autant de questions abordées à travers une lecture croisée des relations internationales et de la santé mentale.
L’ouvrage examine les mécanismes psychiques en jeu, les réactions face à l’imprévisibilité, les impacts du flux informationnel permanent, la fragmentation du débat public, l’émergence de figures collectives de la menace. Il interroge également la manière dont l’identité individuelle et collective est affectée, comment s’enracinent les sentiments d’impuissance, de perte de contrôle, de déclassement ou de déracinement. Il donne à voir les fractures générationnelles, les désillusions politiques, ainsi que les effets de la contagion émotionnelle.
Mais l’article ne s’arrête pas à ce constat. Il propose aussi des pistes pour vivre avec cette anxiété sans s’y soumettre. Il invite à accueillir l’incertitude, à renforcer les ressources cognitives et intellectuelles qui permettent de penser sans fuir, de ressentir sans sombrer. Il explore les leviers de l’adaptation psychologique, du lien social, de l’action collective, de la mise en sens. Il ouvre des chemins pour transformer la peur en vigilance lucide, pour répondre à la confusion par l’engagement et pour faire de la complexité un espace de réflexion plutôt qu’un terrain d’abandon.


Mots-clés : Guerre et paix, Santé mentale, Relations internationale, Stress et anxiété, Veille stratégique.

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Abstract:

Geopolitical anxiety is neither a passing worry nor an isolated reaction, but a collective, pervasive, and persistent experience in the face of international crises. This article explores how the upheavals of the contemporary world permeate minds, permeate emotions, and shape behaviors, far beyond diplomatic or strategic circles.

Through rigorous and cross-disciplinary analysis, the author sheds light on a phenomenon deeply rooted in our time: widespread anxiety in the face of global upheaval. The instability of international relations, the persistence of armed conflicts, the proliferation of hybrid threats, and the continuous media coverage of crises are causing an unprecedented amplification of collective fears. This climate of anxiety is taking hold in daily life, influencing perceptions, identities, and political commitments.
Why do the war in Ukraine, tensions in the Middle East, or the Sino-American rivalry elicit such strong emotional reactions? How does the disappearance of psychological distance transform hyper-connected citizens into victims by proxy? What are the mental mechanisms behind this pervasive anxiety? How can we manage its effects on our relationship with the world, with others, and with ourselves? These are some of the questions addressed through a comparative analysis of international relations and mental health.

The article examines the psychological mechanisms at play, reactions to unpredictability, the impacts of the constant flow of information, the fragmentation of public debate, and the emergence of collective perceptions of threat. It also explores how individual and collective identity is affected, and how feelings of powerlessness, loss of control, downward mobility, and uprootedness take root. It reveals generational divides, political disillusionment, and the effects of emotional contagion.

But the article doesn't stop at this observation. It also offers ways to live with this anxiety without succumbing to it. It encourages us to embrace uncertainty and strengthen the cognitive and intellectual resources that allow us to think without fleeing and to feel without succumbing to despair. It explores the levers of psychological adaptation, social connection, collective action, and meaning-making. It opens paths to transform fear into clear-sighted vigilance, to respond to confusion with commitment, and to make complexity a space for reflection rather than a ground for surrender.

Keywords: War and peace, Mental health, International relations, Stress and anxiety, Strategic intelligence.

Réf. GUIDÈRE M. (2025). L’ANXIÉTÉ GÉOPOLITIQUE: Comprendre et agir dans un monde incertain.

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LA SOUVERAINETÉ COGNITIVE À L'HEURE DE L'IA ET DES GRANDS MODÈLES DE LANGAGE (LLM)

M. GUIDÈRE. Professeur des Universités. Directeur de recherches à l’INSERM

Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale, France.

Résumé :

L'émergence et la diffusion exponentielle des systèmes d'Intelligence Artificielle Générative, notamment les Grands Modèles de Langage (LLM), opèrent un basculement paradigmatique dans les enjeux de souveraineté. L'article analyse ce passage d'une souveraineté numérique axée sur la localisation des infrastructures (serveurs, données) à une souveraineté cognitive qui interroge la maîtrise des architectures mentales et des processus décisionnels collectifs.

La thèse centrale est que la valeur et le pouvoir ont migré vers ces modèles d'intelligence qui relient, interprètent et orientent non seulement les données techniques, mais surtout les perceptions, les affects et les jugements des individus. Cette délégation massive de l'effort mental aux algorithmes engendre une dette cognitive cumulative, risquant l'atrophie du cortex préfrontal et une uniformisation de la pensée. La liberté de penser et l'esprit critique sont directement menacés par l'opacité des biais systémiques et l'illusion d'une intelligence non consciente.

Sur le plan géopolitique, l'article souligne l'installation d'une nouvelle forme de confrontation stratégique : la guerre cognitive. Celle-ci vise à affaiblir durablement la faculté de discernement des sociétés en exploitant les vulnérabilités émotionnelles et les biais cognitifs humains, faisant de chaque citoyen un potentiel « soldat involontaire » dans la bataille informationnelle. La souveraineté se mesure désormais à la capacité d'un système à fonctionner en autonomie cognitive, notamment dans des domaines stratégiques comme l'IA médicale.

En conclusion, l'article appelle à une doctrine européenne de résilience cognitive. Il ne suffit plus de réguler (via le RGPD ou l'AI Act) ; il est impératif de conjuguer le cadre éthique avec la construction d'une puissance technique autonome. L'objectif est de bâtir une autonomie cognitive collective afin que les valeurs démocratiques et la rigueur intellectuelle structurent un écosystème maîtrisé, garantissant la liberté individuelle et la stabilité démocratique face aux "empires cognitifs" de la Big Tech.

Mots-clés : Souveraineté Cognitive, Intelligence Artificielle, Grands Modèles de Langage (LLM), Guerre Cognitive, Dette Cognitive, Éthique, Résilience Stratégique.

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Abstract:

COGNITIVE SOVEREIGNTY IN THE AGE OF AI AND LARGE LANGUAGE MODELS (LLMs)

M. GUIDÈRE. University Professor. Research Director at the INSERM

The emergence and exponential dissemination of Generative Artificial Intelligence systems, particularly Large Language Models (LLMs), mark a profound shift in sovereignty challenges. This article analyzes the transition from digital sovereignty, which focuses on the localization of infrastructure (servers, data), to cognitive sovereignty, which questions the mastery of mental architectures and collective decision-making processes.

The central thesis is that value and power have migrated to these intelligence models, which connect, interpret, and shape not only technical data but, crucially, the perceptions, affects, and judgments of individuals. This massive delegation of mental effort to algorithms engenders a cumulative cognitive debt, risking atrophy of the prefrontal cortex and the uniformity of thought. The freedom to think and critical reasoning are directly threatened by the opacity of systemic biases and the illusion of non-conscious intelligence.

On the geopolitical level, the article highlights the installation of a new form of strategic confrontation: cognitive warfare. This aims to permanently weaken the discernment faculty of societies by exploiting human emotional vulnerabilities and cognitive biases, turning every citizen into a potential "unwilling soldier" in the informational battle. Sovereignty is now measured by a system's capacity for autonomous cognitive functioning, especially in strategic domains such as medical AI.

In conclusion, the article calls for a European doctrine of cognitive resilience. It is no longer sufficient to regulate (via the GDPR or the AI Act); it is imperative to combine the ethical framework with the construction of autonomous technical power. The objective is to build a collective cognitive autonomy so that democratic values and intellectual rigor structure a controlled ecosystem, ensuring individual freedom and democratic stability in the face of the "cognitive empires" of Big Tech.

Keywords: Cognitive Sovereignty, Artificial Intelligence, Large Language Models (LLMs), Cognitive Warfare, Cognitive Debt, Ethics, Strategic Resilience.

Réf. GUIDÈRE M. (2025). L’ANXIÉTÉ GÉOPOLITIQUE: Comprendre et agir dans un monde incertain.

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Évaluation psycholinguistique des effets du confinement. JARHSS. 2020. Vol 2. N1.

 

La pandémie vue par les Arabes : de la peste noire à la covid-19. JARHSS. 2020. Vol 1. N3. DOI:10.36177/26777193.2020.0103

Psycholinguistique et santé mentale : Fondements et méthodes. JARHSS. 2020. Vol 1. N1.

Évaluation psychocriminologique du risque de violence. JARHSS. 2019. Vol 3. N3.

 

Islamisation, désislamisation, réislamisation : trois concepts pour comprendre l’évolution de l’islam. JARHSS. 2019. Vol 2. N3. DOI:10.36177/26777193.2019.0203

Évaluation psycholinguistique du délire mystique. JARHSS. 2019. Vol 1. N2.

Mesures de la victimisation des victimes du terrorisme. JARHSS. 2019. Vol 2. N2.

Les Obsessions des personnes radicalisées : Etude de cas. JARHSS. 2019. Vol 1. N1.

L’Expression de la haine sur les réseaux. JARHSS. 2018. Vol 1. N1.

Linguistique clinique et santé mentale : Application des protocoles verbaux aux troubles de la personnalité. JARHSS. 2018. Vol 3. N1. 

 

Humanités numériques et santé mentale : la prise en compte de la parole. JARHSS. 2018. Vol 3. N2. DOI:10.36177/26777193.2018.0302

La Prise en compte des verbalisations psychotraumatiques : Méthodologie et outils. JARHSS. 2018. Vol 2. N2.

 

Islamisme et totalitarisme : mise en perspective historique et idéologique. JARHSS. 2017. Vol 3. N2. DOI:10.36177/26777193.2017.0302

Apprentissage machine sur les données textuelles du terrorisme. JARHSS. 2017. Vol 1. N1.

La Modélisation des influences idéologiques sur les réseaux sociaux. JARHSS. 2016. Vol 1. N1.